vendredi 20 avril 2007

Brouillon

Il y a bien un jour que je voulu écrire, et le silence accommode les choses de l'esprit. Il me semble que ce jour là je voulu écrire quelque chose, mais rien ne se passe et la vie a un goût amère. Les jours d'été j'allais à Dauville, je regardais mes pas sur le sable et l'horizon. Je pensais parfois à julia tout en sachant bien qu'il fallait se faire violence, et que la mettre hors de ma vie était ce qui avait de mieux faire. La plupart des sourires qu'on donne aux gens ont peu d'importance, ils nous coûtent rien, le coeur ni est pas ce n'est que de la politesse, de la courtoisie, donner un vrai sourire, un beau sourire, c'est autre chose. Julia savait vous tromper avec adresse, on peut dire que cet art était consommé en elle. Elle avait des crises, qu'on ne comprenait souvent pas bien. Quel genre de crises? Des sortes de sauts d'humeur, qui rend un être désagréable.

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